• Contexte

     La nuit du dimanche 29 mars 2016 la Terre changea du tout au tout. Un vent frais régnait sur le Pays à cette instant -une brise douce et agréable caressait la peau des passants.

    Admirant les étoiles pour la dernière fois de leur courte existence d'humain, les passants étaient encore plein d'espoir et de naïveté. Ils ne se doutais de rien, ni que leur vie sur Terre allait changer ni que le monde était en danger.

    Sur l'ambiance d'un Clip de KARD les vents ont décidés de tourner et d'apporter à la population un virus encore inconnu pour les Hommes. Le C.a.B 01.

    Les symptômes étaient plutôt simple, une grossière mutation ou entière de chaque être vivant. Le virus faisait effet sous trois jours plus ou moins. Par fois plus longtemps et d'autre plus court.

    Des humains se sont vu pousser des cornes sur la tête ou on vu une pilosité très poussée faire irruption dans leur vie. Certains chanceux développaient de nouveaux sens.

    La vie moderne à dû prendre fin, forcés de se réfugier sous terre pendant plusieurs millier d'années, des famille ont été briser ce jour là.

    Les Mutants ont été abandonnés sur Terre avec les Mantes religieuses mutante : mesurant deux mètres et dévoreuse de chaire.

    C'est seulement cette année que les Hommes se sont décider à explorer la Terre à la recherche de réponse.
    Envoûtante, la Terre les a conquis, certains on décidés de s'y installer et d'y crée leur nies, tandis que d'autre on préférés rester sous terre par précaution. Cela créa ainsi deux Tribu différentes : La Tribu de la Terre & La Tribu de l'Air.

    La Tribu de la Terre à put ainsi garder leur apparence humaine.

    Celle de l'Air développaient des attribut non-humains et apprenait à vivre dans leur nouveau foyer.

    Des tensions se créaient entre les deux Tribu. Les humains craignaient les Mutants. Ils avait peur de se faire contaminer -alors que ce virus ne s'attrape que par les radiations et n'est donc pas contagieux.

    Les Mutants trouvait les humains stupides et avait du mal à les cerner même si ils n'avait rien contre eux.